Lewanz

Blog (français)

Blog part of my project "The Journey"

This project is about shining a light on the true values, showcase places, lights, people and even entrepreneurs that works to a creed of ethics, aesthetics, sustainability and savoir-faire.

Enjoy!

Hope

Hope

Le truc le plus compliqué dans l'art, qu'il soit visuel ou non, c’est de trouver l’inspiration, mettre à mal sa créativité, d'arriver à faire bouger les lignes. Se dire qu’on a finalement réussi à faire les choses différemment. Avoir l'espoir de laisser une trace indélébile, de marquer les esprits et de traverser les âges. 
Le truc le plus compliqué dans l'art, qu'il soit visuel ou non, c’est de trouver l’inspiration, mettre à mal sa créativité, d'arriver à faire bouger les lignes. Se dire qu’on a finalement réussi à faire les choses différemment. Avoir l'espoir de laisser une trace indélébile, de marquer les esprits et de traverser les âges. 

Je puise dans mon quotidien et je me nourris de tout ce qui m'entoure. Une lumière, un reflet... Une ombre au coin de la rue... Je cherche la poésie dans l'invisible. Dans le discret et l'imperceptible. Je veux aller au-delà du regard, de la futilité de l'instant. 

 

C'est un peu l'idée de cette série HOPE. 

Pourquoi ces trois photos ? Elles représentent pour moi l'idée que tout est une histoire de perception, que toutes nos expériences sont déterminées par notre vision de la réalité. On est 100% responsable de tout ce qui peut nous arriver, ou en tout cas de la façon dont on y réagit.

Une flaque d'eau, une rue sombre... On se décale de quelques centimètres, on s'arme de patience et on apprend à regarder les choses différemment. On s'improvise alors metteur en scène, où la lumière, les ombres et le bitume sont les personnages principaux. 

 

Photo 1 & 3. Il est tard et la nuit tombe. Je rentre chez moi, et comme à mon habitude lorsque le soleil s'éloigne, mon chemin change de direction. Les ombres et jeux de lumière m'attirent plus que l'endroit où je vis. Lorsque la nuit prend place, que les néons jouent les reflets, la rue Mogador reste un passage quasi-obligatoire. Et ce soir-là, le temps n'est pas pluvieux mais une flaque d'eau persiste. Comme si elle était là pour attirer mon attention, pour me dire de la regarder, comme un miroir poétique. Une poésie urbaine faite d'eau et de béton. 
Photo 2. A à cette période de l'année, le soleil décide de s'endormir parallèlement aux bâtiments de la rue Davy. Plus il s'aligne avec l'horizon, plus les rues perpendiculaires deviennent sombres et sans vie... Laissant tout cette rue dorée encore vivante jusqu'à la tombée de la nuit. J'attends de longues minutes, quelque chose qui rendra la composition plus attractive et plus dynamique. 

1.

2.

3.

 

Appareil photo : iphone 6s
Objectif : /
Réglages : /
Edit :VSCO
Nawel Odin